Sommaire de Radiofil magazine 38

Fiches techniques :
Optalix Studio de D. Maignan.

Restauration :
Nettoyage par électrolyse de É. Bélanger (SQCRA).
Voici un petit truc que j’ai découvert il y a quelques mois et qui vous épargnera de précieuses heures lors de la restauration de vos radios. Tout particulièrement dans le cas d’épaves, où bien souvent, les composantes métalliques sont très sales ou bien rouillées. Le nettoyage par électrolyse permet d’enlever sans effort la saleté et l’oxydation sur des pièces métalliques et ce sans attaquer le métal sain en dessous.
La rénovation des plastiques de J. Lepoix.
Cher amis de Radiofil, j’ai acquis au fil des ans une expérience importante sur la restauration extérieure des postes de radio et particulièrement en ce qui concerne l’entretien des plastiques. Hélas, si mon expérience en électronique était aussi complète… ! Malheureusement, il n’en est rien.

Réalisation :
Un BFO : écouter les radioamateurs à moins de 30 € de J. Lemoine F6CIS.
On trouve depuis peu dans les grandes surfaces des récepteurs GO-PO-OC-FM à affichage digital et très bon marché (moins de 20 euros !). Il reste à fabriquer un petit oscillateur de battement (BFO) pour en faire un récepteur CW/BLU sur 20 et 40 mètres.
Chronique du G09
L’association est fière de ses adhérents et de leur motivation. Nous présentons ci-dessous les montages remarquables à base de G09 qu’ont apportés nos lecteurs à l’assemblée générale d’Achicourt. Où va donc s’arrêter leur imagination ?
Un support tournant pour châssis de D. Guyez.
En effectuant des recherches sur un appareil de mesure que proposait la firme Philips en 1935 à ses réparateurs agréés, (l’appareil de mesure universel type 4256), j’ai retrouvé une publicité de la même année, sur son « nouveau support- châssis ajustable ». C’était exactement le dispositif qu’il me fallait.
Remplacement des piles 67,5 V ou 90 V de C. Fabert.
Les postes portatifs des années 1960 utilisaient des tubes avec une tension filament de 1,5 V. La haute tension était délivrée par une pile de 67,5 V ou de 90 V, selon le type de tubes employé. Ce genre de pile n’existe plus dans le commerce.

Rétrospective :
La station Bordeaux-La Fayette de D. Maignan.
1re partie
La station radio Bordeaux-La Fayette qui fut inaugurée en 1920, était située à Mar­che­prime en Gironde, au lieu-dit Croix-d’Hins, à 30 km de Bor­deaux. Nous sommes allés sur l’ancien site pour retrouver les derniers vestiges. Le quatre-vingt-dixième anniversaire donne l’occasion d’en retracer l’histoire et de faire la description des installations de cette mythique station de télégraphie sans fil qui fut à l’époque la plus puissante du monde.
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Souvenir :
Ici Saint-Lys Radio...
Dans les années 1960-70, il était habituel de rechercher sur les postes grand public des radios étrangères s’exprimant en langue française dans la bande ondes courtes de 19 à 49 mètres. Au cours du balayage du cadran, on pouvait entendre le message suivant : « Ici Saint-Lys Radio, service radiotéléphonique avec les navires en mer. Cette transmission est effectuée au niveau normal de parole, pour permettre le réglage des récepteurs de bord. » Ce message émanait d’une station radio, implantée près de Toulouse et universellement connue pour la qualité de ses vacations avec les navires marchands et de pêche naviguant de par le monde.

Audio rétro :
Soyez ludique : construisez un ampli hi-fi de M. Deluz.
10e partie : comparatif de quelques tubes de puissance
Pour le numéro 10 de « Soyez ludique » j’ai tenté d’organiser de façon claire un système permettant de comparer, à partir de graphiques de distorsions donnés par les constructeurs, quelques tubes de puissance dans diverses configurations. Il y a tellement de données chiffrées à prendre en compte, que cela peut donner aux yeux de certains un aspect un peu rébarbatif à cet article. Je crois cependant que, rapidement, l’esprit du lecteur intéressé pourra examiner les tableaux proposés sans trop de peine.

Histoire des techniques :
Le kinétophone Edison de J-C. Montagné.
Le kinétophone Edison pourrait être un phonographe presque comme les autres, il en diffère cependant, car il est pourvu d’un système amplificateur. Je crois inutile d’ajouter que les lampes audion n’existaient pas quand Edison a créé ce mo­dè­le de phonographe, aux alentours de 1895. Il était destiné à accompagner les appareils de projection cinématographique qu’Edison a fabriqués.

Сommentaires

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