Fiches techniques :
Hallicrafters S38

Restauration :
Radiomail Avant de brancher de J-P. Waymel.
1re partie
Rien de bien révolutionnaire dans ce qui va suivre… Mais oh ! combien d’incidents (et accidents) auraient pu être évités si les quelques avis qui vont décrits avaient été systématiquement respectés !

Pages techniques :
Les indicateurs visuels d'accord de D. Maignan.
Indiquer l’accord précis d’un récepteur sur la bonne longueur d’onde (ou la fréquence) de la station à recevoir, ou bien encore orienter au mieux un cadre, mais aussi fournir des arguments commerciaux et esthétiques, tels furent les rôles de ces dispositifs. L’histoire des indicateurs d’accord est presque aussi vieille que celle de la radio. Les ingénieurs ont souvent dû faire preuve d’ingéniosité pour créer ces dispositifs qui mettaient en œuvre des techniques souvent innovatrices. Pour en être pourvus, les récepteurs devaient avoir une détection de niveau du signal, circuit du reste indispensable pour faire fonctionner la Com­mande Automatique de Gain 1 qui fut inventée au début des années trente. À l’issue de cet article, nous examinerons les indicateurs analogiques à aiguille, qui permettent en plus de l’accord, d’effectuer une mesure relative du niveau de réception. Ces derniers appelés « Smètre » peuvent également servir à l’alignement des circuits du récepteur.

Réalisation :
Une radio avec un tube 1L4 de G. Chevaillier.
Voici un récepteur à tube qui ne présente aucun danger d’utilisation puisqu’il fonctionne sous 27 volts. Par conséquent, c’est un montage idéal pour vous familiariser avec l’usage des tubes électroniques. Il s’agit d’un récepteur ondes courtes à réaction. Sa gamme théorique s’étend de 5,5 à 20 MHz.
Le Simple Scop de J. Cornu.
Construisez un oscilloscope simple
Comme je disposais dans mes fonds de tiroir d’un tube cathodique DG7/32 avec son blindage en mu métal récupéré sur un vieil oscilloscope Centrad hors service, des doubles triodes et un certain nombre de composants, j’ai eu envie de construire un petit oscilloscope basse fréquence simple, comportant un minimum de composants. L’élaboration du cahier des charges, puis des schémas, et enfin la construction et la mise au point me demandèrent trois mois.

Au fil du web :
Au fil du forum de D. Maignan.
Faire de la galène soi-même, réalisation d'un variomètre
Comme la plupart d’entre vous le savent, le forum de Radiofil, qui est mis à la disposition de tous les amateurs de techniques radio et sonores anciennes, est un haut lieu d’expression et d’échanges courtois et par conséquent une source d’informations toujours très intéressantes, avec la présence régulière de participants étrangers. Nous sélectionnons des sujets que nous estimons être d’un grand intérêt pour nos lecteurs et nous les rapportons dans les lignes de la revue, en pensant en particulier à ceux qui n’ont pas Internet. Dans ce numéro nous vous présentons deux descriptions du même auteur, l’une décrivant comment fabriquer de la galène de synthèse, l’autre concernant une fabrication originale, celle d’un variomètre.

A côté de la TSF :
Les ondes radio naturelles de C. Beghin.
1re partie : whistlers et tweeks
Des milliards d’années avant Maxwell et ses équations, avant Hertz, Marconi, Popov, Ducretet et bien d’autres inventeurs de la TSF, Dame Nature s’était chargée d’inonder tout l’univers d’ondes électromagnétiques. Cette série d’articles passera en revue la vaste étendue des longueurs d’ondes émises, depuis des milliers de kilomètres jusqu’au domaine submillimétrique, et l’extraordinaire variété de sources et milieux concernés. En marge de brefs tours d’horizon des différents thèmes, une attention particulière sera portée aux contributions des amateurs. Nous commençons avec les émissions radio déclenchées par les orages qui sont connues de longue date.

Histoire des techniques :
La TSF de J.-C. B. Montagné.
2e partie
La naissance est toujours accompagnée de douleurs ! À ce point nous nous trouvons vraiment à l’origine de ce qui deviendra la télégraphie sans fil ou T.S.F. Il y a des gens qui se contentent de répéter ce qu’ils lisent ici ou là sans chercher les documents originaux. Il n’est que d’ouvrir quelques adresses internet pour observer le nombre de contrevérités, d’affirmations incontrôlées et de sottises. Nous sommes révoltés par les idioties écrites à propos d’Édouard Branly. Sa découverte du radioconducteur (qu’il n’a pas protégée par un brevet, la laissant à la disposition de tous), est bien sa propriété ainsi que nous le prouvons dans ce qui suit.