Fiches techniques :
Solistor
Ventes, expos, bourses :
Petite histoire d'une aiguille
de M. Pirat.
ou l'avènement du galvaniomètre
Restauration :
Restaurer dans le respect de l'origine
de D. Vernizeau.
Il ne viendrait à l’idée de personne de mettre un moteur de Mégane pour restaurer une Renault des années vingt. Pourtant, dans notre milieu de la radio de collection, c’est bien exactement ce que beaucoup d’entre nous réalisent en remplaçant systématiquement tous les condensateurs d’origine par des modèles modernes sur les postes qui passent entre leurs mains. Cette pratique qui dénature le câblage d’origine est d’autant plus désolante qu’elle est inutile, à l’exception du condensateur de liaison BF, rarement en état, j’en conviens.
Réalisation :
Construction d'un poste à galène TESLA
de J. Hildebert.
Ce type de poste, appelé loose coupler en anglais, était en vogue dans les années vingt surtout outre Atlantique, car il permettait d’améliorer la sélectivité de l’étage d’entrée d’un récepteur à galène ou à tube.
Un poste à réaction
de J-J. Goupy.
Ce type de poste, appelé loose coupler en anglais, était en vogue dans les années vingt surtout outre Atlantique, car il permettait d’améliorer la sélectivité de l’étage d’entrée d’un récepteur à galène ou à tube.
Un traceur de courbes pour tubes électroniques
de A. Chevrier.
1re partie
Vous souhaitez assurer le dépannage d’un montage ou bien simplement contrôler son fonctionnement. Vous voulez vérifier qu’il est électriquement bien alimenté, voire qu’il délivre bien les tensions souhaitées. Pour procéder à ces vérifications, on peut utiliser soit un voltmètre, soit un oscilloscope.
Faut-il se poser des questions quant à la validité des mesures ? Oui, dans certains cas. Mon propos concernera seulement ici l’usage du voltmètre, tout en déclinant certains pièges à éviter.
Mesure :
Un testeur simple de court-circuit
de W. Krieg.
Mesure de la tension électrique
de G. Chevaillier.
Vous souhaitez assurer le dépannage d’un montage ou bien simplement contrôler son fonctionnement. Vous voulez vérifier qu’il est électriquement bien alimenté, voire qu’il délivre bien les tensions souhaitées. Pour procéder à ces vérifications, on peut utiliser soit un voltmètre, soit un oscilloscope.
Faut-il se poser des questions quant à la validité des mesures ? Oui, dans certains cas. Mon propos concernera seulement ici l’usage du voltmètre, tout en déclinant certains pièges à éviter.
Presse rétro :
La TSF au combat
de G. Spitzmuller.
1re partie
Nous devons à notre regretté Jacques Caumeau d’avoir recuelli pour nous cette nouvelle écrite en 1919, qui relate un épisode de la Grande Guerre vu par des opérateurs TSF. Elle fait partie de la collection « Patrie » à parution hebdomadaire entre 1917 et 1920. Ces récits très patriotiques racontaient les grandes batailles de la guerre ou certains épisodes plus précis.
Les trains radio de la SNCF
de L. Julien.
Les nouvelles lampes à grilles multiples
de D. Maignan.
On peut dire, sans crainte de se tromper, que l’année 1933 a été en T.S.F. celle des penthodes haute fréquence.
Celles-ci ont été en effet adoptées par la grosse majorité des constructeurs pour l’équipement de leurs récepteurs.
En voiture avec le tour de France
de S. Jouanneau.
Audio rétro :
Soyez ludique : construisez un ampli hi-fi
de M. Deluz.
4e partie : la préamplification
On a vu précédemment que dans la plupart des cas, une préamplification est nécessaire avant le couple pilote-finale. Elle va nous permettre en outre d’introduire un contrôle de tonalité performant. Plus poussée, elle va augmenter la sensibilité de notre ampli au niveau d’un microphone éventuel ou, avec les filtres appropriés, celui d’une tête magnétique de tourne-disque.
Histoire des techniques :
Le Solistor
de J-C. Pesant.
Le Solistor est le premier récepteur à transistors français. Plus qu’un simple poste de radio, il s’agit d’un véritable mythe ! Avec la belle image en quadrichromie de la quatrième page de couverture, nous allons entamer une série d’articles sur la véritable épopée de cet appareil qui débute dès 1955 !