Fiches techniques :
Le Ténor T35A
Restauration :
Le Sfr SRS4
de D. Lambert.
Le fait de communiquer entre passionnés peut produire des résultats très positifs. Voici comment, par la magie d’internet, deux collectionneurs ont réussi à percer le mystère d’un poste au schéma introuvable : le Sfer SRS4.
Pages techniques :
Le tour du cadre
de D. Maignan.
1re partie
Nous savons qu’il est possible d’utiliser un cadre comme collecteur d’ondes à la place d’une antenne. Dans ce cas, l’entrée du récepteur est connectée à un circuit électriquement fermé et le signal capté est uniquement le résultat du courant induit par la composante magnétique du champ haute fréquence.
Ce dossier quasi exhaustif en plusieurs parties fait appel à quelques développements mathématiques de base destinés à asseoir l’exposé. Il a cependant pour but de décrire des réalisations pratiques à la portée de tous.
Les ondes radio naturelles
de C. Beghin.
Les ondes de radioastronomie
La radioastronomie est née aux États-Unis dans les années trente grâce à des travaux d’ingénieurs radio de génie dont le premier est sans aucun doute Karl Jansky, employé par la Bell Telephone Company dans le New Jersey. Jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, les recherches de ces pionniers étaient essentiellement individuelles, mais prirent un grand essor dès 1945 avec l’utilisation pacifique des nouveaux radars militaires. Dès lors, le domaine des fréquences et des longueurs d’onde s’est formidablement étendu depuis la gamme décamétrique (ondes courtes) utilisée par Jansky, jusqu’aux micro-ondes à la frontière de l’astronomie infrarouge, en même temps que la liste des objets étudiés s’est étendue à tout l’Univers.
Réalisation :
Postes à galène néo rétro
de P. Dehayes.
Les postes à galène : sujet maintes fois traité en tous sens, mais qui semble toujours autant passionner les amateurs ! Quoi de plus mystérieux en effet que d’entendre « des choses » en grattouillant un caillou ! Les propriétés de la galène sont connues depuis le xixe siècle, et l’écoute sur poste à galène (également parfois nommé poste à cristal) connut un très grand succès dès les années vingt où d’innombrables passionnés construisaient souvent eux-mêmes leur récepteur, ouvrant ainsi la voie de la réception « à lampes ». Retrouvons les joies pures de ces premiers sans-filistes, en construisant nous aussi quelques-uns de ces petits postes qui fonctionnent sans aucune autre source d'énergie que celle qui est captée par l'antenne !
Au fil du web :
Au fil du forum
de D. Maignan.
Comme la plupart d’entre vous le savent, le forum de Radiofil, qui est mis à la disposition de tous les amateurs de techniques radio et sonores anciennes, est un haut lieu d’expression et d’échanges courtois et par conséquent une source d’informations toujours très intéressantes, avec la présence régulière de participants étrangers.
Nous sélectionnons des sujets que nous estimons être d’un grand intérêt pour nos lecteurs et nous les rapportons dans les lignes de la revue, en pensant en particulier à ceux qui n’ont pas Internet.
Dans ce numéro nous vous présentons un procédé astucieux pour retrouver la polarité d’un écouteur, suivi de quelques échanges sur les procédés de magnétisation des aimants.
Histoire des techniques :
L'épopée de la galène
de S. Melot.
Depuis le début de la télégraphie sans fil, la mise en évidence de la présence d’une onde électromagnétique a fait l’objet de nombreuses recherches.
En 1889, Heinrich Rudolf Hertz construit un petit appareil capable de déceler l’existence d’une onde. Le détecteur résonateur de Hertz permet de constater la présence d’une étincelle.
En 1890, Edouard Branly utilise un tube de verre contenant de la limaille métallique et constate que sous l’action des ondes hertziennes, le tube (appelé radioconducteur) devient conducteur alors qu’à l’origine il ne l’était pas. Relié à une pile, il peut faire dévier un galvanomètre ou actionner un relais.
En 1900, le capitaine Gustave Ferrié présente à l’Académie des sciences son détecteur électrolytique. Beaucoup plus simple d’utilisation, il est plus sensible que le tube de Branly, mais il nécessite une source de polarisation ajustable.
En 1902, Guglielmo Marconi développe un détecteur électromagnétique. Equipé d’un mécanisme d’horlogerie, cet appareil sensible, robuste et volumineux utilise les propriétés de magnétisation d’un fin câble d’acier mobile traversant une bobine haute fréquence et passant devant des aimants.
En 1904, John Ambrose Fleming invente le premier tube à vide (brevet : 24850/1904). Ce tube à deux électrodes se révèle être un parfait détecteur, mais il lui faut une source de courant conséquente pour obtenir le pouvoir émissif du filament.
En 1909, Paul Jégou met au point un détecteur électrolytique à amalgame mercure-zinc avec une électrode en platine. Ce détecteur ne nécessite aucune source de polarisation.
Reportage :
Radio Slovaquie Internationale
de H. Brien.
Il y a une quinzaine d’années maintenant, je me suis lancé dans la collection des récepteurs radio et je m’intéresse particulièrement aux récepteurs transistorisés à bandes multiples. Je les utilise encore de temps en temps pour l’écoute des stations de radiodiffusion internationales en ondes courtes.
Atelier :
Un transformateur d'isolement
de P. Marsan.
La trousse à outils du dépanneur
Voici la liste des outils indispensables pour le dépanneur.