Fiches techniques :
Hervor
Poste et haut-parleur haute impédance Hervor (notre photo de 4e page de couverture)

Vie du club :
Le courrier des radiofilistes de J-P. Waymel.
Voici donc la première de l’édition du « Courrier des radiofilistes ». Nous avons sélectionné dans vos correspondances deux questions d’intérêt général que nous publions ci-après avec les réponses. Bien entendu, toutes les questions posées reçoivent une réponse en direct, qu’elles soient publiées ou non dans le magazine. Continuez-donc à nous écrire pour faire vivre cette nouvelle rubrique !

Pages techniques :
Le tour du cadre de D. Maignan.
2e partie
Nous savons qu’il est possible d’utiliser un cadre pour recevoir les ondes radioélectriques à la place d’une antenne. Avec ce genre de dispositif, du fait de sa structure, l’entrée du récepteur se trouve connectée à un circuit électriquement fermé et le signal capté résulte uniquement du courant haute fréquence induit par la composante magnétique du champ radioélectrique. Cette série d’articles étalée sur plusieurs numéros fait appel à quelques développements mathématiques de base qui sont destinés à asseoir l’exposé afin de permettre une bonne compréhension des descriptions pratiques. Après avoir évoqué simplement l’aspect théorique du fonctionnement des cadres, examinons maintenant plusieurs réalisations pratiques aisées à mettre en œuvre, que chacun d’entre vous peut facilement entreprendre. Nous débutons dans cette édition avec la description d’un cadre à air de grandes dimensions.

Souvenir :
Petite histoire de la gonio de J-P. Tonnelier.

Histoire des hommes :
En 1941, quel était le petit poste américain de Churchill ? de J-P. Papet.

Histoire des techniques :
Minus dans la cour des grands de S. Melot.
Grand amateur de musique, Edmond Duchon-Doris (1871-1968), le fondateur de Radio-Minus, était passionné par ­différentes techniques et notamment celles des ondes de la radiodiffusion naissante. De petite taille, d’une excellente santé et d’une robustesse physique hors du commun, à 85 ans il pratiquait encore le violoncelle plus de trois heures par jour. Jeune, il jouait avec succès de plusieurs autres instruments. Modeste, curieux, astucieux, inventif et doté d’un grand sens pratique, tout jeune, il utilise le daguerréotype et suit avec intérêt l’évolution de la photographie. Il présente diverses inventions au concours Lépine pour lesquelles il reçoit différents prix. Il crée notamment : un porte-couteaux à réservoirs, une petite roulette kilométrique pour mesurer les distances sur une carte routière, un surprenant système que la famille appelle « Œil de lynx » qui, par concentration de la lumière sur un petit diamètre, améliore la netteté visuelle, etc. Mais, c’est en T.S.F. que sa créativité va pouvoir s’exprimer dans la durée.