Sommaire de Radiofil magazine 58

Fiches techniques :
SFR RU 536 de D. Maignan.

Restauration :
Dépannage d'un transistor Philips 90AL780/51 de F. Maton.
Je vous propose le compte-rendu du dépannage d’un récepteur à transistors qui devrait intéresser nos lecteurs. La panne que j’ai décelée et réparée était toute simple, mais relativement peu fréquente, ce qui fait que l’on n’y pense pas forcément. Il est toujours utile d’avoir une description détaillée de l’appareil dont il est question, c’est la raison pour laquelle vous trouverez à la fin de l’article, la première page et le schéma issus du manuel technique.

Réalisation :
Un poste à réaction 3 lampes type C119 de J. Denaveaut.
Je vous propose de construire ce poste batteries à trois lampes. Il s’agit d’un modèle à réaction magnétique du type C119, c’est-à-dire que dans ce montage le circuit de la détectrice à réaction est précédé d’un amplificateur accordé. Le rôle de ce dernier est d’une part d’augmenter la sensibilité de l’appareil et d’autre part d’éviter de rayonner par l’antenne le signal produit par la réaction.
Retour sur... Symphonic radio de J-P. Cipierre.
Vous trouverez ci-dessous la réalisation d’un poste par Jean-Paul Cipierre, membre sympathique des Radiofilistes de l’Isère. Nous avions à cœur de publier la description de ce poste construit par Jean-Paul qui n’a jamais reçu de formation de radioélectricien, mais qui est un expérimentateur invétéré réalisant des montages étonnants.

Au fil du web :
Renseignements TSF et audio : recherches d’infos sur un poste de D. Maignan.
Nous mettons sur le devant de la scène Sylvester, un jeune adhérent âgé seulement de 14 ans, preuve que la valeur n’attend pas le nombre d’années, mais n’a-t-il pas plutôt attrapé une grave maladie virale ?

TSF militaire :
TSF et aviation militaire de A. Salles.
Le réglage du tir d’artillerie : 1916 à 1917 « Au temps des alternateurs »
Cet article est le troisième de cette série dont l’ambition est de présenter l’évolution du matériel de transmission militaire français embarqué, et ceci des origines de 1910 jusqu’en 1918. Comme nous l’avons déjà évoqué dans la première partie, les appareils de la première génération (émetteurs à vibreurs alimentés en courant continu sur batteries), s’ils ont permis de mettre en place un système de réglage de tir novateur et particulièrement efficace, n’en présentent pas moins quelques inconvénients. Ils montrent par ailleurs clairement, et ceci dès la fin de 1915, que les limites du procédé sont atteintes et qu’il convient de trouver au plus vite des solutions pour conserver l’avantage (dans ce domaine) sur l’adversaire en permettant de multiplier les réglages, souvent sur des zones étroites du front.

Reportage :
Musée de la radio de Saint-Appollinard de A. Brun.
C’est dans le petit village de Saint-Appollinard (42520) situé au cœur du parc naturel régional du Pilat que j’ai découvert ce musée de la radio. Nous sommes dans la Loire, à égale distance de Lyon et Valence, pas très loin de Saint-Étienne et à deux heu­res de Grenoble.

La page des OM :
Histoire d'OMs un BFO simple: de J. Lemoine F6CIS.
Écouter les radioamateurs pour moins de 30 euros
On trouve dans les grandes surfaces des récepteurs GO-PO-OC-FM à affichage digital et très bon marché (moins de 20 euros !). Il reste à fabriquer un petit oscillateur de battement (BFO) pour en faire un récepteur CW/BLU sur 20 et 40 mètres...

Téléphonie :
Les taxiphones de A. Levasseur.
Nous allons dans cet article parler des téléphones publics à prépaiement. Le néologisme taxiphone est apparu dans les années vingt avec la création de la Compagnie pour l’exploitation en France des téléphones automatiques. Nous sommes en 1920. Alors que dans certains pays comme les USA, l’Angleterre et l’Allemagne par exemple, il est possible dans les lieux fréquentés d’appeler le central et d’obtenir une conversation par simple introduction de pièces de monnaie ou jeton, il n’en est pas de même en France où la gérante de cabine reste incontournable.

Сommentaires

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