Sommaire de Radiofil magazine 44

Fiches techniques :
Philips modèle 636A (1933) de G. Cuciuc.

Infos :
Info et divers

Restauration :
Restauration d'un Ducretet Bagneux de C. Fouilhe.
J’ai fait l’acquisition de cet appareil le samedi 31 octobre 2009 à la communauté d’Emmaüs de Béziers–Servian. Lors de la visite du hangar réservé à la radio, la hifi et la télévision, je l’ai de suite aperçu, posé sur une étagère, comme s’il m’attendait. Son état extérieur me semblait bon et son prix de 25 € plus que raisonnable.

Réalisation :
Une alimentation pour postes batteries de P. Blanco.
Cette alimentation a été développée pour s’adapter à une grande majorité de configurations de postes batteries. Contrai­re­ment à l’ancien modèle qui utilisait un transformateur spécialement bo­biné à tensions multiples, celle-ci s’accommode de deux transformateurs standard. Elle est composée de trois parties distinctes et isolées entre elles : la HT, le chauffage et la double polarisation.
L'Électronicofil se met aux transistors de G. Prieur.
Les bases du transistor silicium
Dans cette série d’articles, après un rappel sur la polarisation et les caractéristiques des transistors silicium « modernes », nous décrirons des récepteurs simples PO-GO à transistors silicium pour lesquels le cahier des charges de départ a été établi de façon à rendre très simple leur réalisation par les Radiofilistes : - récepteurs à réaction à transistors silicium bipolaires ; - réglage de la réaction par potentiomètre évitant des couplages variables ou un CV supplémentaire ; - accord par condensateur variable à une cage.

Doc technique :
Le Philips 636A de D. Maignan.
Bien qu’il soit encore relativement courant, les collectionneurs attachent une bonne cote au Philips 636A. C'est un récepteur à amplification directe avec une conception ingénieuse : ce poste disposait déjà d’une commande automatique de gain.

Transistors :
Le déceleur de parasites de C. Robin.
Cet appareil est peu connu. C’est la raison pour laquelle nous avons jugé intéressant d’en faire la présentation dans ces lignes. Il a tout à fait la structure d’un poste à transistors des années soixante et permet, comme son nom l’indique, de déceler des sources de parasites. Il peut servir à la recherche d’une canalisation encastrée qui serait parcourue par un courant HF modulé ou non. Il détecte, par exemple, les parasites générés par des boîtiers CPL sur les ondes courtes. Mais il est aussi utilisable comme un récepteur PO, GO et OC, bien entendu.

Au fil du web :
Au fil du forum de D. Maignan.
Grundig Boy 57E
Comme la plupart d’entre vous le savent, le forum créé par Radiofil et mis à la disposition de tous les amateurs de techniques radio et sonores anciennes, est un haut lieu d’expression et d’échanges courtois et par conséquent une source d’informations toujours très intéressantes, avec la présence régulière de participants étrangers. Nous sélectionnerons quelques files que nous estimons d’un grand intérêt pour nos lecteurs que nous reproduisons dans les lignes de la revue, en pensant en particulier à ceux qui n’ont pas Internet. Dans ce numéro, bien retenir les conseils donnés par des spécialistes du dépannage, car ils pourront vous servir pour d’autres expériences futures…

Histoire des hommes :
C'est ainsi que l'on écrit l'histoire de J-C. Montagné.
Une fois encore, Édouard Branly a été malmené. En 1902, une société de T.S.F. (Santelli et Victor Popp) a fait savoir qu’elle installerait des postes de T.S.F. au cap de la Hague et à Barfleur. En réalité, les lieux ont changé. Il semblerait que l’illustre Victor Popp était plus un aigrefin qu’un ingénieur et qu’il se soit permis d’utiliser le nom d’Édouard Branly, à l’insu de ce dernier qui en a été avisé par Eugène Ducretet et qui s’en est fâché.

Histoire des techniques :
Le chocolat parlant de P. Charbon.
2e partie
Si je vous dis que le premier phonographe européen utilisant des disques gravés en profondeur a été conçu par un chocolatier, vous allez penser que je plaisante. Et pourtant, c’est la stricte vérité. Alors, laissez-moi vous raconter cette aventure hors du commun.

Atelier :
Un fer à souder avec une bougie de préchauffage de B. Dailly.
Qui n’a jamais été confronté au problème des soudures sur châssis ou blindages qui ne tiennent pas et qui sont plutôt du collage, à cause d’un fer à souder de puissance insuffisante ? La réalisation décrite ci-dessous est digne d’intérêt car elle vous apportera une solution simple et économique.

Сommentaires

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