Fiches techniques :
Poste RCA « tombstone » (pierre tombale) 1930
Courrier des radiofilistes :
CDR N°62
Astuce :
La lubrification des petits mécanismes
de E. Cassagne.
Le sujet concerne la lubrification des petits mécanismes que nous rencontrons souvent en pratiquant notre passion. Mais cela peut s’appliquer à d’autres domaines que la radio (les phonos, l’horlogerie, outillage, etc.)
Audio rétro :
Soyez ludique
de M. Deluz.
Nouvelle découverte
On peut se poser la question : d’où vient un telle curiosité à propos de tubes électroniques considérés comme sans intérêt et bons pour la décoration ou la poubelle ? Pourquoi reprendre une recherche que certainement les « spécialistes » ont déjà menée et qui ne peut conduire qu’à ce qu’on connaît déjà ?
La réponse est simple : il y a tellement d’approximations et même d’erreurs dans de nombreuses publications, mêmes conduites sous l’autorité de spécialistes, que les procès menés à propos de certaines triodes ne nous paraissent pas clos.
Un exemple : le Lexique de tubes Gaudillat de 1957 est tellement bourré d’erreurs graves qu’il a fallu le retirer de la vente !
Histoire des techniques :
La modulation de fréquence
de D. Maignan.
3e partie
Avec ce nouveau procédé de modulation dont l’exploitation débuta réellement en France à la fin des années cinquante, l’auditeur mélomane put enfin se délecter de programmes radiophoniques d’une qualité inégalable.
Les origines de la FM remontent à 1912. Le procédé, dont la théorie de fonctionnement était mal connue, fut envisagé au début des années vingt, au temps où la radiodiffusion balbutiait, mais abandonné au profit de l’AM.
Abandonné, pas tout à fait…
Car il est évident que le micro à charbon agissant comme une résistance variable aux bornes d’un circuit oscillant, se traduisait par une self variant au rythme de la modulation ! De ce fait, la modulation résultante était bien un mélange de modulation d’amplitude et de modulation de fréquence...
Penchons-nous maintenant sur la réception d’un signal FM et sur les circuits particuliers qui composent les récepteurs, et leur évolution depuis les années soixante jusqu’à aujourd’hui.
Le matériel de TSF à l'aube de la guerre de 1914
de A. Salles.
1re partie
La TSF sort des laboratoires à l’aube du xxe siècle. Jusqu’à la guerre de nombreux travaux vont continuer à en affiner la théorie mais surtout de nombreuses expérimentations permettront d’entrevoir les extraordinaires possibilités qu’ouvre cette invention. Toutefois malgré des réalisations très concrètes (en particulier sur les réseaux coloniaux), l’enthousiasme des techniciens ne permettra pas d’obtenir l’adhésion des états-majors. Les quatre années de guerre vont conduire à des progrès fabuleux de la TSF en construisant les bases de ce que l’on appellera plus tard la radioélectricité. La science française est mobilisée. Des applications majeures verront le jour. Certaines permettront un temps de prendre le dessus sur l’adversaire.
La page des OM :
Un récepteur simple bande des 20 mètres
de D. Maignan.
Partie 2
Nous examinons dans cette 2e partie la description du fonctionnement du récepteur et détaillons le rôle de chaque étage.
Atelier :
Une batterie compacte 4 volts - 40/80 volts
de B. Thomas.
Avec la généralisation sur le marché des accus Ni-Mh au format des piles standards, on peut construire sous un volume restreint un ensemble d’alimentation pour récepteur batteries fournissant 4 V 10 Ah et 40/80 V 0,4 Ah.
Cela permet quelques heures d’écoute…
Test ampli Revidon
de D. Werbrouck.
Dans l’édition n° 59 de Radiofil magazine (page 92), sous la plume de Jean Revidon, la rédaction proposait la réalisation d’un amplificateur BF stéréo très simple et original mettant en œuvre, pour l’étage final, des tubes EL84 montés en triodes.
Nous avons demandé à l’auteur de nous confier un exemplaire de ce montage afin de réaliser des mesures complètes et d’effectuer une écoute de cet amplificateur au travers de sources de référence.